L'amour est la valse frémissante
des anglaises mouillées aux larmes de chagrin
des cris d'un bébé câliné
relevés dans mon corps des fonds marins...
Prise par la main,
je me laisse emportée et j'emporte un humain,
dont je connais le nom et dont je sais qu'il ressemble
à mon âme.
Je l'emmène dans ma valise, dans l'avion,
puis à l'église -
là-bas je Lui montre mon âme
trempé aux chansons de l'espoir et,
je m'égare,
dans l'émotion d'un destin frugal,
lorsque j'entends le battement de son cœur
volontaire accueil pulsant les gémissements en accord...